ce poème ? On le rangerait volontiers, bien
qu'il soit dépourvu de toute dérision, dans le
tiroir où se trouvent déjà les poèmes
décadents d'Adoré Floupette.
Divague esprit sphynx voyant fauve
L'abscons dilué dans l'azur
Ton sang par les étoiles mauve
Saoule en rôdant le terne mur
Comme le rigide mont chauve
L'âme rose du matin pur
Quérant le népenthès qui sauve
Ta mélancolie au sol sûr
L'aile basse et lasse des fanges
Au Nirvana non au Léthé
Où l'azur ne plonge ses fanges
Parmi des visions étranges
Se noie en l'alme immensité
Que fleurit la neige des anges.
L'auteur ?
Ne cherchez ni dans vos
souvenirs, ni en requérant l'aide d'un
quelconque moteur de recherche, vous ne
trouverez pas, mais lisez…