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Sarkô
se retourna pour voir C'est vrai ! admit Sarkô dans
sa tête. — En effet ! acquiesça Sarkô Sarkô leva la main
pour commander l'arrêt.
Sarkô se contenta
de pousser un juron pour accompagner son geste. Sans perdre un instant, Sarkô sauta — Balivernes ou pas,
lança alors Sarkô, Qu'il en soit donc
ainsi, trancha Sarkô. — Nous avons tenu
conseil, coupa Sarkô en la perçant de son regard bleu de
glace. Sarkô
rejeta la pelle
Sarkô connut une nuit agitée. À l’aube, les
pensées de Sarkô s'organisèrent enfin et les couleurs
sirupeuses du décor perdirent de leur éclat. Sarkô arracha le
cercle métallique qui lui enserrait le crâne et l’étudia
avec perplexité. — Ils ont occulté
les machines au sommet de la tour, expliqua Sarkô.
« Que me veut-il ? »
se demanda Sarkô. — Je le connais ! fit
Sarkô en secouant la tête. — Détrousseur de
cadavres ! souffla Sarkô quelque peu horrifié. — Pourquoi avez-vous
fait ça ? gronda Sarkô d'une voix grave. Sarko fit un geste. Chacun s'immobilisa. — GRINN ? Où est GRINN
? s'inquiéta alors Sarkô — Sarkô !
jeta-t-il au-dessus des têtes brunes qui s'interposaient
entre son ami et lui.
Sarkô leva une
fois encore les yeux |