Éditions PLEIN CHANT
Marginalia



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Sarkô se retourna pour voir C'est vrai ! admit Sarkô dans sa tête. — En effet ! acquiesça Sarkô

Sarkô leva la main pour commander l'arrêt.          Sarkô se contenta de pousser un juron pour accompagner son geste.

Sans perdre un instant, Sarkô sauta

— Balivernes ou pas, lança alors Sarkô,
il n'est pas l’heure pour les bavardages.
Il faut dépecer, dépouiller, découper.

Qu'il en soit donc ainsi, trancha Sarkô.

 — Eh bien ! qu'attendez-vous ? fit Sarkô
qui éprouvait de grandes difficultés dans
sa tâche macabre car le métal
adhérait fortement à la chair.

— Nous avons tenu conseil, coupa Sarkô en la perçant de son regard bleu de glace.
Mais la glace descend beaucoup plus bas qu’à l’ordinaire, acheva Sarkô dans un souffle.

Sarkô rejeta la pelle        Sarkô connut une nuit agitée.

À l’aube, les pensées de Sarkô s'organisèrent enfin et les couleurs sirupeuses du décor perdirent de leur éclat.

Sarkô arracha le cercle métallique qui lui enserrait le crâne et l’étudia avec perplexité.
Sarkô remarqua des mécanismes
Sarkô hocha la tête, puis il contempla la tour. 

— Ils ont occulté les machines au sommet de la tour, expliqua Sarkô.

 

« Que me veut-il ? » se demanda Sarkô.     — Je le connais ! fit Sarkô en secouant la tête.

 Sarkô vrilla son regard sur celui de l’Ancien.        un simple regard de Sarkô le découragea

 

— Détrousseur de cadavres ! souffla Sarkô quelque peu horrifié.
— Vous avez tué une femme et un vieillard tout près de la frontière ! reprit Sarkô. Pourquoi ?

— Pourquoi avez-vous fait ça ? gronda Sarkô d'une voix grave.
— Vous plaisantez ! explosa Sarkô.

 Sarko fit un geste. Chacun s'immobilisa.    

GRINN ? Où est GRINN ? s'inquiéta alors Sarkô

— Sarkô ! jeta-t-il au-dessus des têtes brunes qui s'interposaient entre son ami et lui.                Sarkô leva une fois encore les yeux