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« Eh bien, mon pauvre ami, lui dis-je encore une fois, vous êtes un homme perdu, et j'ai grand'peur que vous n'ayez anticipé votre propre peinture, lorsque vous composâtes, il y a quelques mois, le sonnet de l'infâme Chausson (…). Chausson était un malheureux sodomite qui fut brûlé en Grève peu de mois avant que Le Petit, pour d'autres sujets, y subît le même sort. » Tel s'exprimait Jean Rou, un
compagnon de Claude Le Petit, rapportant une
conversation avec son ami (Mémoires inédits et opuscules de Jean Rou,
1638-1711, publiés pour la Société de
l'histoire du protestantisme français, d'après le
manuscrit conservé aux archives de l'État à La Haye
par Francis Waddington, Paris, Agence centrale de la
société, 1857).
Paul Lacroix, qui vient de citer
Jean Rou, donne ensuite le sonnet sur la mort de
Chausson (P.L. Jacob Bibliophile, Paris ridicule et
burlesque au dix-septième siècle, Paris, A.
Delahays, 1859, Avertissement de l'éditeur).
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