Éditions PLEIN CHANT
Marginalia


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— Regroupement ! Regroupement ! intima la voix dans le crâne des Sarkô.

Sarkô attira brusquement le corps dévêtu contre lui.
— Ouvre-toi ! haleta-t-il.

Alors, Sarkô hurla, comme une bête
Sarkô porta le premier coup. Sarkô ouvrit les yeux.

— Les femmes sont ainsi approuva Sarkô.
— Sarkô ! murmura Kyelle à l'oreille du jeune chef.

Sarkô crut également discerner une nuance angoissée dans le ton.
— Qu'est‑ce qui ne va pas ? s'inquiéta Sarkô

 Sarkô resserra son étreinte, engloba l'un des fruits de sa poitrine dans sa paume et le pressa délicatement.

Le souffle court, le cœur battant, Sarkô se laissa aller sur le côté

Sarkô hocha la tête de haut en bas.    Sarkô jeta un coup d'œil en contrebas.      Sarkô se redressa, interdit.

 — Il va falloir compter avec eux, grommela Sarkô.
 — Si nous restons ici, grommela Sarkô, nous serons tués avant d'avoir esquissé le moindre geste

— Alors, en route ! fit Sarkô en donnant le signal du départ. Sarkô souffrait terriblement dans sa tête

Les mâchoires de Sarkô se crispèrent —  En selle ! murmura Sarkô. Sarkô prit presque aussitôt la tête




Sarkô avait extrait des fontes de sa selle
son arme favorite : une longue chaîne
d'acier munie à ses extrémités de boules
du même métal garnies de  pointes


Sarkô frappa avec une violence inouïe.
Sarkô frappa des ventres et des torses.

           

« La disparition de la vie ! » rugit Sarkô dans sa tête.      Sarkô lui-même s'était mis à hurler.

 Par le feu du ciel ! hurla Sarkô

Sarkô frémit en croyant reconnaître sa femme et son fils parmi un enchevêtrement de dépouilles.