C'est
un jeu : Hans Castorp (un des mille pseudonymes de
Pierre Ziegelmeyer), dans une petite brochure de son
Ecole de Nulle part, de son Eden, teste vos
connaissances littéraires. À vous de jouer…
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- À quatre pas d'ici je te pète à la gueule. - C'était pendant l'horreur d'une péteuse nuit. - La fille du minus aux vieux pets d'enfoiré… - Tu pètes, tu pètes,
c'est tout ce que tu sais faire.
- Chacun son fessier, les pets seront bien tirés. - Je suis venu péter dans un siècle puant. - Quand j'entends parler de cul, je sors mon pet. - La matière demeure et le pet se perd. - Le cul c'est ce qui reste quand on a tout pété. - Les pets s'en vont, je demeure. - Il n'y a que le premier pet qui coûte. - Tout homme a dans son cul un gros pet qui sommeille. - Les Français n'ont pas le pet épique. - Le moment où je pète est déjà loin de moi. -. |
- Ah ! insensé qui crois que je ne pète pas ! - Prends garde à la douceur des vesses.
- Il faut prendre les pets comme ils sont. - Nous sommes des nains juchés sur des pets de géants. - Les grandes odeurs sont muettes. - Il faut péter sans cesse après avoir pété. - Les pets parlent d'eux-mêmes. - Cul qui soupire n'a pas ce qu'il désire. - La raison du péteur est toujours la meilleure. - On a souvent besoin d'un plus péteux que soi. - C'est en pétant qu'on devient patron. - Le vent se lève, il faut tenter de vivre… - Pour vivre heureux, vivons pétés. ![]() |